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8. April 2017, 21:58

Trump lâche la solution à deux États

Donald Trump marque une rupture dans la politique américaine au Proche-Orient. Le président américain a affirmé que la "solution à deux Etats" n'était pas la seule possible pour régler le conflit israélo-palestinien: «je pense à deux États ou un État et je préfère la solution que les deux partis préfère. Je choisirai la solution que les deux parties préfèrent." Le rire que l'on a entendu derrière, c'est celui de Benyamin Netanyahu, le premier ministre israélien qui est en visite officielle aux Etats-Unis. Il a affiché sa proximité avec le gendre du président américain Jared Kushner qui va avoir la main haute sur le dossier israélo-palestinien:

Puzder retire sa candidature

Par ailleurs Andrew Puzder, le PDG d'un groupe de restauration rapide avait été nommé par Donald Trump au poste de secrétaire au Travail. Il a retiré sa candidature hier après par des révélations sur le fait qu'il a employé illégalement une femme de ménage en situation irrégulière pendant plusieurs années.

Polémique sur la colonisation en France

En France, le passé colonial de pays s'invite dans la campagne. François Fillon le candidat de la droite a reproché hier les propos du libéral Emmanuel Macron sur la colonisation, des propos tenus un peu plus tôt en Algérie: «En Algérie, M. Macron a osé dire que la colonisation était un crime contre l'humanité. Cette repentance permanente est indigne d'un candidat à la présidence de la République." Ce n'est pas la première fois que le débat sur la colonisation s'invite dans la campagne. Fin août, le candidat de la droite François Fillon, aujourd'hui englué dans une affaire judiciaire, avait déclenché une polémique en jugeant que "la France n'était pas coupable d'avoir voulu faire partager sa culture aux peuples d'Afrique".

Fillon : la justice poursuit son enquête

Par ailleurs, la justice va poursuivre son enquête sur François Fillon et ne veut pas classer sans suite la procédure. Le candidat est soupçonné d'emplois fictifs au bénéfice de son épouse.

La France dénonce les cyber-attaques russes

Le président français François Hollande s'est inquiété hier du risque de cyber-attaques en France à l'occasion de la prochaine présidentielle, Emmanuelle Macron avait dénoncé auparavant l'ingérence de la Russie, pays également nommément cité par Jean-Marc Ayrault, le ministre français des Affaires étrangères comme étant responsable de cyber-attaques et de diffusion de fausses informations.

La météo

Du soleil toujours en Autriche avec des températures comprises entre 6 et 14 degrés.

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